Présenté au sous-sol de la Maison de la Mutualité, transformé pour l’occasion en une jungle urbaine exotique et poétique, avec des suspensions florales, le show de KENZO est le dernier à clôturer le grand marathon parisien de la Fashion Week, condensé sur cinq jours très denses.
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Carol Lim et Humberto Leon, à la tête de la direction artistique de la plus parisienne de la maison japonaise depuis 2011, continuent à téléscoper les styles et les références, tout en puisant dans l’héritage de la marque.
Leur collection est l’occasion de “célébrer les cérémonies d’été, les rencontres de toutes sortes et la jubilation des rituels. Et plus particulièrement, ces singulières occasion où les hédonistes néo-romantiques rencontrent les convives des mariages britanniques, et toute autre tribu entre ces deux extrêmes”.
Sur la piste, le vestiaire pour hommes Kenzo se traduit par des silhouettes hybrides entre sportswear et tailoring, polarisées sur des couleurs acidulées et des volumes surdimensionnés. Les costumes prennent de la souplesse, avec un esprit de décontraction assumé : les pantalons se voient doter d’un cordon de serrage, à la manière d’un pyjama, certaines vestes ont des panneaux latéraux dans une couleur criarde, quand d’autres un large col rabattable. Le tout associé aux sandales en caoutchouc, des mocassins en daim et des sneakers Kenzo revisitées.
© Kenzo