Parmi les dix-huit défilés physiques que compte, cette saison, la Paris Fashion Week, il y a la maison Balmain qui investissait, au mercredi soir, le Jardin des Plantes riche de quatre siècles pour un show grandiose, peuplés de célébrités, de filles aux longues jambes et de garçons haltérophiles.
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Devant un front-row où l’on trouve, virtuellement sur une cinquantaine d’écran placés sur un côté de la piste, des têtes mondialement connues, parmi lesquelles : Anna Wintour, Jennifer Lopez, Cindy Crawford, Claudia Schiffer, Kris Jenner, Usher, ou encore Cara Delevingne, qui n’ont pas pu se déplacer pour cause de la pandémie mais qui ont pris la peine de se filmer sur fond blanc et de jouer le jeu comme s’ils étaient vraiment présents au défilé.
La collection emmenée par Olivier Rousteing fait la part belle au monogramme historique de la marque, dans la première partie du défilé. En forme d’hommage au fondateur de la griffe, Pierre Balmain, Olivier Rousteing assis sur un tabouret de bar accueille six mannequins françaises historiques de la maison, toutes vêtues de tenues à logo, dénichées dans les archives et remises au goût du jour.
Vient ensuite un second vestiaire rempli d’énergie qui revisite les codes esthétiques des années 70 et 80, où tailleurs aux pantalons évasés côtoient blazers étirés à revers tombants, pantalons cyclistes en maille, bermudas en jean, pulls monogrammés ou encore des hauts et vestes aux épaules pagodes.